Photographie prise le jour de la Cérémonie de la pose de la première pierre, cérémonie encadrée par le Ministre du développement et la télévision burkinabè.

 

La démarche entreprise par le Club pour la Solidarité et pour le Développement est donc de permettre à ces orphelins et enfants vulnérables déscolarisés :

   - d'accéder à la scolarisation et être formé le plus tôt possible

   - de s’offrir une alternative en termes d’auto-emploi après la formation au centre

   - de favoriser l’émergence des métiers sur le plan national

   - d’accroître la production agricole de la région à travers les différentes techniques acquises au centre

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Le Club pour la Solidarité et pour le Développement veut, à travers ce projet, contribuer d’une façon significative et active au développement de la région.

 

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LE CENTRE

 

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Photographies prises sur le centre durant l'année 2016

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Le Centre est aujourd’hui terminé à environ 80%.

Il se situe sur la commune de Réo au Burkina Faso et a été bâti sur un terrain d’un hectare acheté par notre président grâce à la vente de son livre « La Vie d’un Orphelin » durant l’année 2012 alors qu’il est parti emménager en Europe dans le but de récolter les fonds nécessaires à la construction des bâtiments.

5 ans après le lancement des travaux, et avec les modestes moyens perçus depuis le lancement du projet, ce sont 3 bâtiments qui sont terminés :

• Le premier bâtiment comprend 3 salles de classe ;

• Le second est une grande salle de réunion qui permettra la tenue des assemblées du Conseil d’Administration, organe qui dirigera la vie du centre ;

• Le troisième bâtiment est celui des latrines, sous forme de toilettes sèches.

 

Les bâtiments sont peints, les fermetures sont posées et les toits ont également déjà été posés.

 

Le coût total du projet de construction avait été évalué à hauteur de 25 000 € en 2012.

 

Il reste encore aujourd’hui à construire la clôture qui permettra au centre d’accueillir les enfants en toute sécurité mais également de pouvoir délimiter des espaces destinés à l’élevage d’animaux ainsi qu’à la plantation de céréales et de légumes notamment.

Enfin, l’apport en électricité et en eau sera le dernier palier à franchir pour voir enfin les travaux terminés.

 

L’ORGANISATION DU CENTRE

 

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Le personnel du centre devrait être composé de 8 salariés :

• Un Gardien

• Deux cuisiniers

• 4 formateurs

• Un directeur, qui suivra les directives d’un Conseil d’Administration préalablement mis en place au sein du centre.
   

Les enseignements pratiqués seront :

• L’élevage

• La culture

• La soudure et la mécanique

• La couture

 

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AUTOSUBSISTANCE

 

Afin de répondre aux besoins de la formation des jeunes enfants qui seront scolarisés dans notre centre, et parce que nous savons bien que la question économique est la principale barrière à l’avancement d’un projet tel que celui que nous portons, l’un de nos objectifs va être l’autosuffisance.

En effet, nous allons mettre à profit les enseignements pratiqués au sein de l’établissement pour se nourrir mais également créer des revenus. Ainsi, l’élevage apportera aussi bien de l’argent que de la nourriture (lait, œufs…), la soudure et la mécanique seront également sources de revenus, par des services ou de la vente, tout comme la culture.

Une fois le centre lancé, nous ferons tout notre possible pour être reconnu auprès du ministère de l’enseignement et de la culture, ce qui nous permettra assurément un apport budgétaire supplémentaire.

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Photographie de notre président (Albert Bationo, à droite) en compagnie d'un groupe de jeunes réolais liés au mouvement du CSD, pour lesquels le centre que nous batissons est un espoir en contruction.

 

Nous portons ce projet depuis maintenant 5 ans, il est pour nous un projet qui se doit de fédérer. Il est important que nous soyons nombreux à valoriser cet élan si important pour une partie de la jeunesse, annonciateur de lendemains plus radieux et mettant en valeur la formation à des métiers toujours plus en expansion sur le continent africain.

 

Nous sommes fiers de pouvoir prétendre à être les initiateurs de cette dynamique et espérons que le centre pourra démarrer son exercice d’ici fin 2018.

Alors ensemble faisons passer le message du Club pour la Solidarité et le Développement : mobilisons-nous pour l’éducation de cette jeunesse qui mérite de se former !